Contrairement à son habitude, cette fois, le PetLabPotGlob va se passer de commentaire, à l'exception de ce chapeau. L’article qui suit est paru samedi 13 février sur le site du Journal du Pays Basques – Euskal Herriko Kazeta. Il est visiblement trop tôt à l'heure actuelle pour lire quelque réaction que ce soit sur le net. Donc, si ce papier laisse plus que songeur, on se prend à espérer encore un peu que cette misérable information ne sera qu’un énième canular. Si ce n’est pas le cas, il nous reste à souhaiter le retour très rapide d’Action Directe et des Brigades Rouges. Juste histoire que cette pauvre milice ne s’ennuie pas trop. A bon entendeur…
"Devant l'augmentation de la délinquance (...), devant les risques (...) de terrorisme, l'Association Fraternelle des Anciens des Services de Sécurité (Anfass)» a créé une réserve citoyenne.
Voilà un an et demi que s'est créée l'Anfass, rassemblant des personnes de nationalité française dont «la mission est de participer à la défense, à la sécurité et à la justice de la France». Avec au premier rang de ses préoccupations la délinquance et le «terrorisme d'Al Caida (sic) et de l'ETA».
La plupart des personnes qui sont membre de l'Anfass sont des anciens combattants, des anciens militaires des services spéciaux, des renseignements, des policiers, des magistrats... Bref des gens du métier. Cela dit, quiconque peut postuler mais devra tout de même montrer «patte blanche». En effet, une enquête sera menée et un casier judiciaire vierge sera demandé.
Avec son siège social situé à Limoges, l'Anfass a pour ambition d'ouvrir une délégation dans chaque département. A l'heure actuelle, plus d'un tiers existe dont une délégation située à Urt. L'association tient tout de même à préciser qu'elle ne met pas en place une milice «car nous ne sommes pas armés» selon Mme Tarraso membre de l'association. Il s'agit d'un réseau d'information, basé sur l'observation. Les personnes adhérentes «participent à la défense de la Nation, à la prévention des conflits et à la protection de la population».
Chaque délégué départemental est la personne vers laquelle sont rapatriées les informations et elle est la seule habilitée à entrer en contact avec les Services Officiels (gendarmerie, police, RG...). Le délégué est aussi entouré d'avocats, magistrats et autres conseillers.
L'Anfass se veut «une des réponses au problème de la délinquance», qui fait appel à l'esprit civique. L'association se pose dans un «rôle préventif «, en s'appuyant sur «la vigilance».
Si elle se développe, peut-être aurez-vous la chance d'être «sauvé» par un voisin de l'Anfass...
PS: Si vous souhaitez vérifier par vous même l'existence de cet article dont on ne pourra pas remettre l'objectivité en cause (pour un peu, on pourrait confondre avec un communiqué de presse), c'est ici.
Voilà un an et demi que s'est créée l'Anfass, rassemblant des personnes de nationalité française dont «la mission est de participer à la défense, à la sécurité et à la justice de la France». Avec au premier rang de ses préoccupations la délinquance et le «terrorisme d'Al Caida (sic) et de l'ETA».
La plupart des personnes qui sont membre de l'Anfass sont des anciens combattants, des anciens militaires des services spéciaux, des renseignements, des policiers, des magistrats... Bref des gens du métier. Cela dit, quiconque peut postuler mais devra tout de même montrer «patte blanche». En effet, une enquête sera menée et un casier judiciaire vierge sera demandé.
Avec son siège social situé à Limoges, l'Anfass a pour ambition d'ouvrir une délégation dans chaque département. A l'heure actuelle, plus d'un tiers existe dont une délégation située à Urt. L'association tient tout de même à préciser qu'elle ne met pas en place une milice «car nous ne sommes pas armés» selon Mme Tarraso membre de l'association. Il s'agit d'un réseau d'information, basé sur l'observation. Les personnes adhérentes «participent à la défense de la Nation, à la prévention des conflits et à la protection de la population».
Chaque délégué départemental est la personne vers laquelle sont rapatriées les informations et elle est la seule habilitée à entrer en contact avec les Services Officiels (gendarmerie, police, RG...). Le délégué est aussi entouré d'avocats, magistrats et autres conseillers.
L'Anfass se veut «une des réponses au problème de la délinquance», qui fait appel à l'esprit civique. L'association se pose dans un «rôle préventif «, en s'appuyant sur «la vigilance».
Si elle se développe, peut-être aurez-vous la chance d'être «sauvé» par un voisin de l'Anfass...
Sébastien SOUMAGNAS
13/02/2010
Le Journal du Pays Basques – Euskal Herriko Kazeta"
13/02/2010
Le Journal du Pays Basques – Euskal Herriko Kazeta"
PS: Si vous souhaitez vérifier par vous même l'existence de cet article dont on ne pourra pas remettre l'objectivité en cause (pour un peu, on pourrait confondre avec un communiqué de presse), c'est ici.